

COMBAT POUR LES ANIMAUX
Les animaux sont des êtres vivants très proches de nous. Des études scientifiques révèlent qu'ils ont une vie sociale, une intelligence qui leur est propre, parfois supérieure à la nôtre et qu'ils sont sensibles à la souffrance, physique et morale.
Malheureusement, leur communication n'est pas la même que la nôtre, même si certains animaux la comprennent et l'utilise. Cette différence nous oblige à être particulièrement attentifs et respectueux à leur égard.
Découvrez nos axes d'action :
Créer un ministère à la Condition animale
Ce ministère à la condition animale sortira la gestion des animaux du ministère de l'Agriculture qui n'a pas vocation à intervenir sur la condition animale.
Il gèrera la condition des animaux de recherche, de ferme, de loisirs, de travail, sauvages et celle des animaux de compagnie.
Il sera épaulé par un Office français de la Condition Animale, créé sur le même modèle que l'Office Français de la Biodiversité. Les réglementations qui protègent les animaux en France seront appliquées grâce à cet Office.
Le respect des animaux sera enseigné à l'école.
Faire entrer l'éthique à l'égard des animaux dans la Constitution française grâce à :
- une charte pour la condition animale
- la pérennisation des structures gouvernementales (Ministère à la Condition Animale et Office français de la condition animale)
Mener une politique de soutien à la recherche qui n'utilise pas les animaux
Les États-Unis sont en pointe dans ce domaine. Ils ont réduit de 90 % leurs expériences sur les animaux. Nous irons chercher chez nous en France et à l'étranger les moyens de ne plus expérimenter sur les animaux. Souvent les progrès sont une affaire de volonté politique.
Soutenir les associations de défense animale
Tantôt l'État soutient ces associations, tantôt il les oublie. Plus de 3.000 associations se sont crées pour secourir les chats et les chiens errants (dans les DOM-TOM pour ces derniers). Ceux-ci prolifèrent sans contrôle car les propriétaires à l'origine ne sont pas conscients des dégâts causés par une reproduction non contrôlée.
Lorsque que les services de l'État ont cherché à aider ces associations, celles-ci se sont heurtées à des démarches administratives extrêmement compliquées.
Instaurer un permis gratuit de détenir un animal
Il évitera les achats compulsifs, suivis d'abandon. Il apportera des conseils précieux au nouveau propriétaire de l'animal. Il sera précédé d'une enquête de voisinage. En cas de détention d'un animal sans permis, l'amende sera sévère après avertissement.
Mener des campagnes de stérilisation des animaux
La situation est telle aujourd'hui qu'il faudrait, pendant 5 ans, créer un crédit d'impôt pour rembourser 50 % du coût de stérilisation et d'identification des chats en métropole et des chiens en Outremer. La fourchette de tarifs serait déterminée avec les associations et les instances vétérinaires. Au bout de 5 ans, une évaluation serait effectuée auprès des associations.
Il faudrait rendre obligatoire la stérilisation des chats errants par les maires. Aujourd'hui ils peuvent le faire mais ne le doivent pas (article du règlement sanitaire). La fondation Trente millions d'amis aident les maires financièrement à stériliser ces animaux errants.
Aidées par l'État, les mairies distribueraient des bons de stérilisation, beaucoup plus pratiques à utiliser auprès des vétérinaires que les dossiers hyper compliqués à remplir.
Arrêter les autorisations d'élevages intensifs
Ces élevages intensifs, dits industriels, endettent au maximum les agriculteurs, font vivre les animaux dans des conditions de vie inacceptables, polluent et ont des répercussions sur notre santé.
Promouvoir l'alimentation végétale
Il est possible de manger équilibré sans viande ni poisson. Un effort du gouvernement pourrait être fait pour la diffusion d'informations faisant connaître ces modes d'alimentation.
Cela améliorerait la santé des Français, économiserait de la souffrance animale et diminuerait les pollutions.
Supprimer les souffrances mortelles que ce soit pour des motifs religieux ou de spectacles
Il a été démontré scientifiquement que les animaux égorgés en pleine conscience souffraient le martyr. Pourquoi garder ces traditions dans les religions juive et musulmane alors que des moyens efficaces de leur faire perdre conscience avant de les égorger existent ?
Par ailleurs, les corridas et les combats de coqs autorisés sur les territoires de tradition ininterrompue, spectacles ouverts aux enfants, répandent un esprit de violence choquant pour plus de 80 % des Français. La démocratie de commande-t-elle pas de respecter ces Français ?